Mai 27, 2019 | Rencontre avec...

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Rédaction SiomActus : Racontez-nous votre parcours…

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Germy Bikouta : En recherche d’emploi en 2015, j’ai contacté la mission locale des Ulis qui m’a informé qu’un poste en contrat d’avenir était disponible au Siom. Ces contrats étaient destinés aux jeunes pour leur permettre d'intégrer la vie professionnelle.  Je me suis porté candidat et je ne le regrette pas !

Au début, j’ai eu la chance de travailler avec l’ensemble des services : la communication, la prévention des déchets, l’accueil, les projets structurants… J’y travaillais à tour de rôle. C’est ce qui m’a permis d’acquérir des connaissances variées dans le domaine des déchets que je découvrais pour la première fois.

Parmi toutes les missions qui m’étaient confiées, celles qui m’ont le plus intéressé, étaient liées au pôle technique, la collecte et les équipements. Je me suis ainsi formé à toutes ces spécificités en travaillant avec Bérénice Dinet, la responsable des projets structurants. Et quand on m’a proposé d’intégrer pleinement les Services Techniques, j’ai immédiatement accepté.

 

RSA : Quelles sont vos missions actuelles ?

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G.B. :Aujourd’hui, ma mission principale est d’assurer, avec mes collègues, la logistique de la déchèterie de Villejust et du parc de bacs sous le contrôle du responsable du service, Pierre Bellone. Je rassemble aussi les données statistiques sur la fréquentation de la déchèterie. J’ai également en charge le suivi des prestataires pour la reprise des déchets diffus spécifiques et l’enlèvement des bennes Eco-mobilier. En l’absence du responsable, je réalise l’ensemble de la gestion quotidienne des demandes de bacs des usagers du territoire du Siom (livraison, réparation et tenu du stock…).

Enfin, occasionnellement, je fais des remplacements au poste de contrôle et je viens renforcer les équipes pour accueillir les particuliers sur la plateforme de la déchèterie.

 

RSA : Vous avez donc des tâches variées…

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G.B. : Oui et c’est ce qui me plaît le plus. Je peux être à la fois au bureau et sur le terrain. Cela évite les tâches monotones.  En plus, comme le territoire du Siom est vaste, je découvre à chaque déplacement des endroits qui m’étaient inconnus.  J’aime aussi le fait d’être autonome dans l’organisation de mon travail… et puis, il y a l’ambiance entre collègues : tout se passe dans la bonne humeur. C’est vraiment agréable de travailler ensemble…. Alors si je peux donner un conseil aux jeunes : surtout n’hésitez pas à ouvrir des portes sur des mondes inconnus.